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La prostitution est un soin psychiatrique d’avenir   Empty La prostitution est un soin psychiatrique d’avenir

Message par Guest Jeu 02 Nov 2017, 08:51
LA PROSTITUTION EST UN SOIN PSYCHIATRIQUE D’AVENIR
 
[…]
 
Je passai, en janvier 1973, une petite annonce dans un journal féminin. Si bien que je me suis marié, à l’âge de presque vingt-huit ans, le […] 1973. Depuis un an, j’étais enfin débloqué, sentimentalement et affectivement, grâce comme déjà dit aux jeunes prostituées que je fréquentais plus ou moins régulièrement depuis juillet 1965. Jamais elles ne me refusèrent baisers en profondeur (sauf la première jeune femme), mots gentils, conversations amicales, strip-teases (sauf la première jeune femme pour son beau soutien-gorge noir), caresses, fellations, orgasmes, empathie, sentiments, amour, etc. Et n’était-ce pas réciproque ? Ne suffisait-il pas de payer et de se plaire ensemble ? Ne passions-nous pas ainsi de bons moments ? Mes rêves, n’aboutissaient-ils pas toujours ? N’étais-je pas heureux, bien soulagé, comblé ? Toutes ne faisaient-elles pas toujours l’amour dans les « règles de l’art » ? Mais combien dois-je, à toutes ces très jeunes, sexy, gentilles, mignonnes et très sympathiques prostituées, pour leur « Service médical effectivement rendu » ? N’est-ce pas tellement cher, que je ne pourrai jamais leur régler toute ma dette ? En effet, la santé – même psy – a-t-elle un prix ? est-elle monnayable ? Ne sont-ce pas leurs baisers en profondeur, mots gentils, conversations amicales, strip-teases, caresses, fellations, orgasmes, empathie, sentiments, amour, etc. qui ont fait que mes psys et moi, a posteriori, considérons que je suis très bien tiré d’affaire ? Le fait que je doive prendre toujours un peu de médicaments psy n’est-il pas que très secondaire ? Leur dosage n’a-t-il pas été, de toute façon, très amoindri ? L’efficacité de ce genre de drogues psy (tranquillisants, somnifères, antidépresseurs, neuroleptiques, antipsychotiques, normothymiques, etc.) ne résulte, à mon avis, que de leur effet « camisole » chimique sur les troubles psy. Agissent-elles sur leurs causes véritables psy infantiles et/ou sexuelles ? jamais ! Changent-elles la personnalité et/ou l’être humain ? jamais ! Avec ces camisoles chimiques quelle évolution et/ou quelle transformation le psychiatrisé peut-il sérieusement espérer ? Non seulement, il ne redevient jamais ce qu’il était auparavant, mais en plus, il est surtout somnolent, abruti, plein de troubles cognitifs (attention, mémoire, etc.). Son employeur peut-il alors continuer à le garder ? Les jeunes prostituées, n’est-ce pas mieux, que toutes ces drogues psy, aussi sophistiquées soient-elles ? Bien sûr, il ne faut jamais les arrêter complètement… en tous les cas certainement pas dans les histoires de schizophrénie ! Prendre peu de médicaments psy, ne signifie pas qu’il ne faille plus en prendre du tout ! Ces jeunes femmes ne m’ont-elles pas été très psychothérapeutiques même s’il m’a fallu attendre pour aboutir à de très bons résultats médicaux psy, environ sept ans (1965-1972) ? La disparition de tous mes troubles de ma névrose obsessionnelle grave et de certains de ceux de ma schizophrénie paranoïde, ne résulte-t-elle pas du transfert sexuel et amoureux réciproque, qu’il y a eu dès la première fois et qui a perduré jusqu’à la dernière, entre ces jolies jeunes femmes sexy et moi ? Sinon comment expliquer mon évolution et/ou ma transformation psy ? Pour soigner ou tout au moins aider les névrosés, les psychotiques, les pervers, les psychopathes, les obsédés, les violeurs, les paranoïaques, les dépressifs, les bipolaires, les schizophrènes, etc. le mieux n’est-il pas que des jolies jeunes femmes sexy – et les professionnelles y voient-elles un inconvénient du moment qu’elles sont très bien payées pour cela ? – les satisfassent durablement, sexuellement et affectivement ? Quitte à ce qu’ils en discutent ensuite avec leur psy ! Ce qui soulève une bonne question : qu’est-ce qui fait que le malade psy change, voire guérit ? Est-ce un traitement médicamenteux psy ou une relation humaine psy, voire les deux ? Ces jolies jeunes femmes sexy n’ont-elles pas toujours une silhouette, un corps de rêve, etc. pour tous les jeunes gens ? Ne sont-elles pas aussi toujours très gentilles, très sympathiques ? Et, comme toutes les autres jeunes femmes, ne sont-elles pas très sentimentales, très amoureuses, etc. dès qu’elles rencontrent un homme, voire des hommes, qui leur plaisent vraiment ? Bref, n’ont-elles pas un charme physique, une psychologie agréable, etc. ? Ne font-elles pas le bonheur de bien des hommes ? Ce qui m’a réussi, ne peut-il pas réussir à bien d’autres ? La prostitution ne serait-elle pas une médecine d’avenir, voire la panacée ? Ne dit-on pas que c’est le plus vieux du monde ? Mais faire bander et jouir les hommes n’est-ce pas surtout le plus beau ? Que pensent de la prostitution les grands sexologues (de Freud à Tordjman) ? Ils ne contestent pas que des exploiteurs fassent travailler sexuellement bien des femmes pour en soutirer de l’argent ! Mais toutefois, ils ajoutent : « La prostitution est une perversion féminine qui n’a pas d’équivalent dans les mêmes conditions chez l’homme ! » Ne manifestent-elles pas dans la rue, régulièrement, réclamant leur droit à exercer librement leur charmante profession ? Où est l’esclavage quand elles n’ont pas ou plus de proxénètes ? N’aiment-elles pas ce qu’elles font ? Ne sont-elles pas comme les autres femmes ? Lorsqu’une femme se marie (ou est excitée sexuellement et sentimentalement), n’est-ce pas parce qu’auparavant elle a pris en considération toujours le statut social de l’homme (est-il médecin, cadre, ingénieur, PDG, etc. ?) auquel elle a affaire et pas forcément sa beauté physique et/ou morale ? Les adolescentes, elles, ne fantasment-elles pas qu’elles seront amoureuses d’un homme riche et qu’elles se marieront avec lui ? Par contre lorsqu’un homme se marie (ou est excité sexuellement et sentimentalement) n’est-ce pas parce qu’auparavant il a pris en considération toujours la beauté physique et/ou morale de la femme, et pas forcément son compte en banque ? Les adolescents, eux, ne fantasment-ils pas qu’ils sont amoureux et se marieront avec une jolie jeune fille sexy, mais qu’en attendant ils sont d’accord pour payer ? La prostitution n’est-elle pas dans la nature féminine, comme les attentats à la pudeur et les viols sont dans la nature masculine ? N’est-ce pas, tout simplement, la nature qui parle, chez les hommes comme chez les femmes ? Les fantasmes ne sont, en tous les cas, pas du tout les mêmes chez celles-ci et ceux-là. Dans un couple, il est rare que le scénario de l’un aille avec celui de l’autre. Quant à la pornographie sur Internet, il y a actuellement deux thèses : celle des féministes et celle des psychologues et sexologues (hommes ou femmes qui passent souvent à la télévision). Les féministes prétendent que lorsque les hommes regardent des vidéos pornographiques, aussitôt ça les excite, leur monte à la tête, ont finalement toujours une grande sensation de manque, n’en peuvent plus, et lorsqu’ils sont ensuite dans la rue ou le métro, passent à l’acte, attentent à la pudeur et/ou violent ! Les psychologues et sexologues (en tout les cas ceux ou celles qui passent souvent à la télévision) soutiennent, eux et elles, que ce n’est pas vrai du tout. Ces vidéos pornographiques, au contraire, protégeraient les femmes ! Elles serviraient à ces voyeurs (mais il y en a qui sont aussi des femmes) de médicaments psy les calmant ou soulageant d’une souffrance psy. Leur mal-être, en réalité, disparaîtrait lorsqu’ils visionnent ces jolies jeunes filles sexy à poil, bien libérées sexuellement, se livrant à toutes sortes d’ébats sexuels et amoureux ! Et ils n’agresseraient pas ou plus alors les femmes ! Mais, qu’en penseraient Sigmund Freud, Mélanie Klein, Jacques Lacan, Françoise Dolto, Masters et Johnson, etc. ? N’expliquaient-ils pas les troubles psy par des sentiments et une sexualité mal vécus et/ou mal résolus, lors de la petite enfance ? L’Œdipe ne détermine-t-il pas l’avenir de tout être humain, homme ou femme ?
 
[…]
 
Extrait du livre « La schizophrénie est une maladie d’amour » de Yao JYM
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