Prostitution : “Vous êtes un violeur dont la conscience est allégée de l'approbation pécuniaire de la victime” (Véronique R. webmaster@les-schizophrenies.fr)

À la suite de remarques que je me suis permis de faire à la tenancière du site [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] dans un courriel que je peux communiquer à quiconque me le demande, j’ai appris en réponse à celui-ci qu’en tant ex-client de prostituées je n’étais en réalité qu’un violeur. Autrement dit un criminel. Les courriels sont du domaine de la privée c’est-à-dire qu’en principe ils sont interdits de reproduction ou de communication par la loi, mais cela, en réalité, d’après la jurisprudence, malgré tout, n’est plus valable si cette communication est faite dans l’intérêt général par exemple pour aider à solutionner un grave problème. Voici donc le contenu intégral de ce courriel :

Monsieur,

Je tiendrais compte de votre remarque au sujet des fautes d'orthographe et de grammaire. Rédigeant directement sur le site internet, je n'avais pas de correcteur orthographique. 

Concernant votre avis sur ma personne (courage), vous feriez bien de le garder pour vous car vous me juger selon des critères peu fiables et peu valables.

Et concernant mon avis sur la prostitution, il s'agit d'un viol consentit par la victime. Donc, en gros, vous êtes un violeur dont la conscience est allégée de l'approbation pécuniaire de la victime.

Ce n'est plus la peine de poster sur le forum de mon site (de toute façon, étant donné la contenance de vos messages, je ne les publie pas), ni même de m'envoyer des mails, nous n'avons rien en commun.

Bonne continuation à vous.

Je me permets de demander aux membres surtout féminins de [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] :

“Saviez-vous que lors de vos rapports sexuels tarifés même consentis par vous-mêmes avec vos clients que vous étiez alors violées par ceux-ci ? et pourquoi cette haine des féministes aussi bien à l’encontre des clients de prostituées qu’en réalité aussi à l’encontre de celles-ci ? Elles présentent celles-ci comme des victimes de ceux-ci mais ce sont bien elles qui à la suite de leur loi font crever de faim celles-ci !”