- GuestEx-membre
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LA MEILLEURE EXPLICATION DU VIOL EST CELLE DE PSYCHIATRIE INFIRMIÈRE
Lien vers le site Psychiatrie infirmière :
Lien vers l’article « Perversion et structure perverse » :
Dans cet article le mot viol n’est jamais prononcé car cet article est généraliste et concerne toutes les perversions sexuelles mais on comprend parfaitement que parmi celles-ci le viol est concerné. Les explications de cet article n’ont bien sûr rien à voir avec les explications morbides des féministes telles que : culture du viol, culture des hommes, domination historique des hommes sur les femmes, etc.
- MiLadyTDS
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Mouais, quand je lis ça :
Je doute vraiment sur la connaissance du milieu SM de la ou des personnes qui ont écrit l'article.
- Le pervers utilisera la relation sado masochiste car c'est une relation solide, qui apporte une sécurité affective. "Si je fais du bien, je ne suis pas sur qu'on me le rende. Si je fais du mal, je suis assuré d'avoir un retour". C'est un mode de relation qui ne parie pas sur l'autre. Le pervers essaie de disposer de l'autre, ne lui fait pas confiance.:
Je doute vraiment sur la connaissance du milieu SM de la ou des personnes qui ont écrit l'article.
- HannaHAdmin
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Viols sur mineurs
Dans ce beau pays qu’est la France, dans ce pays qui se veut être montré en exemple quant à sa politique de répression au regard de l’achat d’actes sexuels entre adultes consentants.
La décision de la cour d’assises de Seine-et-Marne d’acquitter un homme de 30 ans jugé pour le viol d’une fille de 11 ans en 2009 n’en finit plus de provoquer le débat. Huit ans de prison avaient été requis contre lui, mais les jurés ont en effet estimé que le viol n’était pas caractérisé. Un jugement qui remet en débat la question de l’âge de présomption de non-consentement des mineurs, c’est-à-dire le seuil en dessous duquel un enfant ne pourrait être considéré comme sexuellement consentant.
Interrogée sur cette décision, dimanche 12 novembre, la secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a reconnu que ce sujet est « en train d’être débattu » au sein du gouvernement.
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Dans ce beau pays qu’est la France, dans ce pays qui se veut être montré en exemple quant à sa politique de répression au regard de l’achat d’actes sexuels entre adultes consentants.
La décision de la cour d’assises de Seine-et-Marne d’acquitter un homme de 30 ans jugé pour le viol d’une fille de 11 ans en 2009 n’en finit plus de provoquer le débat. Huit ans de prison avaient été requis contre lui, mais les jurés ont en effet estimé que le viol n’était pas caractérisé. Un jugement qui remet en débat la question de l’âge de présomption de non-consentement des mineurs, c’est-à-dire le seuil en dessous duquel un enfant ne pourrait être considéré comme sexuellement consentant.
Interrogée sur cette décision, dimanche 12 novembre, la secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a reconnu que ce sujet est « en train d’être débattu » au sein du gouvernement.
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