- HannaHAdmin
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Le Canard Enchaîné révèle des échanges quelque peu insolites.
Le confinement imposé a des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sur les conditions de vie des travailleurSEs du sexe, mais au lieu de s’en préoccuper, le gouvernement préfère plaisanter sur l’usage de la pornographie et du cinéma par les français, devenus des ressources indispensables afin d’éviter des «émeutes».
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Il est intéressant de noter que pour Madame Schiappa la pornographie est une «soupape de décompression» qui permet d’éviter «les accès de violence dans les foyers» car c’est à l’opposé de ce que défend actuellement la majorité présidentielle. En effet, une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de la députée LREM Bérangère Couillard contre les violences conjugales prévoit de censurer en partie l’accès à la pornographie sur Internet.
L’article 11 de cette PPL indique notamment un lien de causalité entre la vision de la pornographie par les jeunes et la «reproduction des situations de violences».
Cela change aussi un peu avec le discours du président de la république tenu devant l’UNESCO en novembre dernier, et devenu depuis un peu plus d’un an, un des fers de lance de la lutte contre la pornographie.
La politique macroniste est très changeante à ce sujet puisque pendant la campagne des présidentielles le candidat Macron parlait du porno sur Konbini comme faisant «partie de la vie», puis une fois élu, à la suite de pressions de groupes prohibitionnistes, a repris des discours qu’on pensait réservés à l’Amérique du nord des années 1980, en faisant pour la première fois en France, un lien entre pornographie et violences faites aux femmes.
Manifestement, Madame Schiappa en charge de lutter contre ces violences, ne semble (en privé) pas d’accord avec lui, à moins que personne au gouvernement, ni à l’Elysée, ne croit réellement en la politique défendue contre les industries du sexe, et que tout cela ne soit uniquement qu’une réponse aux pressions des lobbys prohibitionnistes.
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Le confinement imposé a des [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] sur les conditions de vie des travailleurSEs du sexe, mais au lieu de s’en préoccuper, le gouvernement préfère plaisanter sur l’usage de la pornographie et du cinéma par les français, devenus des ressources indispensables afin d’éviter des «émeutes».
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Il est intéressant de noter que pour Madame Schiappa la pornographie est une «soupape de décompression» qui permet d’éviter «les accès de violence dans les foyers» car c’est à l’opposé de ce que défend actuellement la majorité présidentielle. En effet, une [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] de la députée LREM Bérangère Couillard contre les violences conjugales prévoit de censurer en partie l’accès à la pornographie sur Internet.
L’article 11 de cette PPL indique notamment un lien de causalité entre la vision de la pornographie par les jeunes et la «reproduction des situations de violences».
Cela change aussi un peu avec le discours du président de la république tenu devant l’UNESCO en novembre dernier, et devenu depuis un peu plus d’un an, un des fers de lance de la lutte contre la pornographie.
La politique macroniste est très changeante à ce sujet puisque pendant la campagne des présidentielles le candidat Macron parlait du porno sur Konbini comme faisant «partie de la vie», puis une fois élu, à la suite de pressions de groupes prohibitionnistes, a repris des discours qu’on pensait réservés à l’Amérique du nord des années 1980, en faisant pour la première fois en France, un lien entre pornographie et violences faites aux femmes.
Manifestement, Madame Schiappa en charge de lutter contre ces violences, ne semble (en privé) pas d’accord avec lui, à moins que personne au gouvernement, ni à l’Elysée, ne croit réellement en la politique défendue contre les industries du sexe, et que tout cela ne soit uniquement qu’une réponse aux pressions des lobbys prohibitionnistes.
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- lionelfranckMembre
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Bonjour à toutes et à tous, et surtout bonne santé ! Il est fréquent que des journalistes relaient des opinions émises par des abolitionnistes de tous poils, concernant une prétendue "violence exacerbée par la pornographie". Or, une compilation de diverses études tendent à prouver le contraire, comme par exemple l'article [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] qui en fait part.
Beaucoup d'autres études qu'on peut retrouver sur le net, publiées lors de ces dernières décennies, se recoupent dans le même sens. Il est dommage que la presse qui relaie périodiquement des articles de propagande abolitionniste, ne joigne pas systématiquement une référence à ces études, histoire de compenser et donner un autre son de cloche au public.
Beaucoup d'autres études qu'on peut retrouver sur le net, publiées lors de ces dernières décennies, se recoupent dans le même sens. Il est dommage que la presse qui relaie périodiquement des articles de propagande abolitionniste, ne joigne pas systématiquement une référence à ces études, histoire de compenser et donner un autre son de cloche au public.
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